volkswaggen.jpg Volkswagen

Industrie automobile

Le groupe Volkswagen, ex-leader mondial dans l'automobile, est empêtré depuis un an dans un scandale portant sur l'installation d'un logiciel faussant les résultats des tests anti-pollution sur onze millions de véhicules.

Ce logiciel servait à masquer le niveau réel d'émission d'oxydes d'azote (NOx), polluants atmosphériques toxiques, et non de dioxyde de carbone.

Le constructeur aux 12 marques, qui fabrique environ 300 modèles, a avoué en septembre 2015 que les moteurs diesel de onze millions de véhicules dans le monde étaient équipés d'un logiciel capable de fausser les résultats des tests antipollution.

L'affaire est vite devenue la plus importante crise jamais traversée par le groupe, lui faisant perdre jusqu'à un tiers de sa valeur en Bourse et poussant à la démission son président du directoire, Martin Winterkorn.


hk-g36.jpg Soldat allemand armé d'un HK G36

Industrie militaire

Près de 43% des soldats allemands ont déclaré que le HK-G36 est «plutôt pas fiable» ou «pas fiable du tout», rapporte le journal Bild dans son édition du 20 juin 2016, citant le sondage d'un centre de recherche sur les forces armées allemandes.

Le HK-G36, fusil d'assaut principal de l'armée allemande, est conçu et fabriqué par l'entreprise allemande Heckler & Koch.

Ce fusil d'assaut ainsi que ses variantes, sont utilisées dans plusieurs pays, et notamment en Algérie par le Groupe d'intervention spécial de la gendarmerie nationale (HK-G36c) et certaines unités de la garde présidentielle (HK-G36k).

L'actuel ministre allemand de la Défense Ursula von der Leyen a déclaré que le G36 avait des problèmes de précision, annonçant le remplacement de près de 167.000 fusils d'ici 2019.

Lors d'une enquête interne de l'armée allemande, il a été conclu que la précision du G36 était réduite d'un tiers à plus de 300 mètres.


shaqiri.jpg Quatre joueurs de l’équipe suisse ont dû changer de tunique lors de France-Suisse, le 19 juin 2016

Maillots déchirés

Puma, en pleine tentative de redressement après des années de traversée du désert, est confrontée à l'incident des tuniques déchirées de l'équipe suisse de football.

Puma a justifié cela par l'utilisation de «tissu défectueux» ce qui entache gravement la marque au félin bondissant déjà en difficulté face aux deux géants du secteur Adidas et Nike.


ballon_adidas.jpg Un ballon Adidas percé lors de France-Suisse, le 19 juin 2016

Ballon éclaté

En deuxième mi-temps de la rencontre France-Suisse, le 19 juin 2016, le ballon de la compétition, fourni par Adidas, a connu un léger problème en milieu de seconde période, quand le défenseur suisse Valon Behrami l'a éclaté en mettant le pied dessus en tentant d'empêcher Antoine Griezmann de filer au but.

Contacté par algerlablanche.com, un responsable au commercial de Adidas-Algérie a minimisé l'incident en déclarant que «...ça peut arriver qu'un ballon éclate, pourquoi vous faites une histoire... c'est le maktoub (destin)»

Pour rappel, en 1996, un scandale a entaché Adidas qui avait recours au travail des enfants au Pakistan pour coudre à la main les ballons de la marque pour un salaire de misère. Cet incident a fait perdre à Adidas l'exclusivité de la fourniture des ballons utilisés par la FIFA et ouvert les portes à Nike.


«Les maillots Puma de l'équipe suisse se déchirent comme du papier. Le ballon Adidas est défoncé. On ne peut plus compter sur l'efficacité allemande!», a ironisé pour sa part sur Twitter l'ancien attaquant anglais Gary Lineker.