Les femmes qui faisaient grève avec lui l’ont cessé. Or, lui, «veut aller jusqu’au bout de ses forces au risque de sa santé». Elle estime que le silence et l’indifférence vis-à-vis de son cas «confortent le pouvoir dans toutes ses pratiques». «50 jours de grève de la faim et de souffrances n’ont pas suffi pour interpeller le pouvoir qui s’apprête à célébrer le 50e anniversaire de l’indépendance dans l’indifférence, le mépris et l’oppression des travailleurs et les violations des lois», s’indigne-t-elle.