Les transferts en question ont touché 50 cadres dans 13 pays arabes et européens et arabes. Certains d’entre eux ont fait usage d’abus de pouvoir pour garder leurs postes et privilèges qui leur sont attribués.

Le même responsable a affirmé que certains cadres d’Air Algérie à l’étranger, notamment, à Londres et à Paris ont exercé de grandes pressions pour ne pas revenir en Algérie après la fin de leur mandat qui ne doit pas dépasser les 3ans.

Les transferts en question dont l’entrée en vigueur se fera graduellement, concernent les employés dans des branches et filiales d’Air Algérie à l’étranger, en plus de représentants et délégués d’Air Algérie dans les pays du moyen orient et en Europe.