touati_marzoug.jpg Pour avoir partagé cette information, Touati risque 10 à 20 ans de prison sur la base de l'article 71 du code pénal, alinéa 3, peine réservée à quiconque se rend coupable «d'entretien avec les agents d'une puissance étrangère, d'intelligence de nature à nuire à la situation diplomatique de l'Algérie».

A cela s'ajoute un autre chef d'inculpation pour lequel il encourt de un à cinq ans de prison pour «provocation directe par les mêmes moyens (discours proféré publiquement, affiché ou imprimé) incitant à un attroupement armé» (article 100 du code pénal).

Le 11 décembre dernier, le journaliste Mohamed Tamalt, a perdu la vie en prison après avoir publié des propos anti-Bouteflika sur Facebook. Il a été poursuivi et condamné sur la base du code pénal.