Un tribunal suisse a estimé que la mention «j'aime» sur le réseau social Facebook équivalait à une approbation de l'utilisateur, condamnant un homme qui avait réagi à un commentaire qualifiant un militant politique d'«antisémite» et de «raciste».
mercredi 31 mai 2017
Un tribunal suisse a estimé que la mention «j'aime» sur le réseau social Facebook équivalait à une approbation de l'utilisateur, condamnant un homme qui avait réagi à un commentaire qualifiant un militant politique d'«antisémite» et de «raciste».