Le procureur du tribunal de Laghouat a requis un an de prison ferme et une amende de 10.000 euros contre le ressortissant français. Celui-ci travaille pour l’américain General Electric dans le chantier de construction d’une centrale électrique à Hassi R’mel.
Didier Vignaud qui se trouve confiné sur une base de vie sécurisée depuis le 19 novembre 2014, est accusé d’espionnage à cause d’un quadricoptère. Alors que le ressortissant français dit avoir utilisé le drone modèle réduit pour son "loisir personnel".
Les agents du DRS ont confisqué le passeport et les ordinateurs du suspect.
Cette affaire n’est pas la première du genre entre l’Algérie et la France. Mars 2014, le Centre de la sécurité des télécommunications du Canada (CSEC) a dévoilé un document où il a accusé la France de cyberespionnage contre plusieurs pays dont l’Algérie.
Un ingénieur français accusé d’espionnage avec un drone
Un ingénieur français, Didier Vignaud, 44 ans, passe aujourd’hui dimanche devant le juge du tribunal de Laghouat. Il est accusé dans une affaire d’espionnage.
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