sellal-pm.jpgLe gouvernement a donc balayé d’un simple revers de la main un débat qui agite la classe politique et la société civile, et ce, avant même le début de révision de la Constitution. Sellal explique qu’il serait difficile, voire compliqué, d’officialiser Tamazight, «alors que sur le plan académique, on ne maîtrise même pas son enseignement au niveau de l’école».

Abdelmalek Sellal a tenté de relativiser en réaffirmant qu’il s’agit là d’un «projet civilisationnel qui ne concerne pas uniquement une seule époque de notre histoire. La Réconciliation, telle que nous la concevons, concerne tous les Algériens à partir de l’indépendance», précise-t-il.