Selon ces responsables, ces frappes aériennes menées par l'armée pakistanaise ont ciblé huit repaires de militants dans le Waziristan du Nord.

Les responsables ont refusé de s'identifier parce qu'ils n'étaient pas autorisés à parler aux médias. L'information qu'ils ont donnée n'a pas pu être confirmée par une source indépendante.

Les régions tribales sont des endroits montagneux, isolés et dangereux, difficilement accessibles aux journalistes.

Ces frappes aériennes surviennent une semaine après que des militants eurent attaqué l'aéroport à Karachi lors d'un siège qui a duré cinq heures et qui a mené à la mort de 36 personnes, dont les dix attaquants ayant mené l'assaut.