meriam-yahia-ibrahim-ishag.jpg
«Les autorités concernées travaillent à sa remise en liberté, par des moyens juridiques, elle qui a été condamnée à mort pour apostasie, a déclaré le sous-secrétaire soudanais aux Affaires étrangères, Abdelah al Azrak. Je m'attends à ce qu'elle soit bientôt libérée.»

La peine capitale avait été prononcée par le juge Abbas al Khalifa lorsque la jeune femme avait affirmé qu'elle était chrétienne, en réponse à une question sur son retour à l'islam.

Les États-Unis avaient appelé Khartoum à respecter la liberté religieuse qui figure dans la Constitution soudanaise.