L’Algérie souhaite également une vive coopération du royaume afin de faire toute la lumière sur cet incident. Mais six mois après, Rabat n’a présenté aucune excuse, si ce ne sont des regrets. Ainsi, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, ne participera pas à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’union du Maghreb arabe (UMA), prévue le 9 mai à Rabat, la capitale du Maroc.

Le Maroc, qui continue de plaider en faveur de la réouverture de la frontière entre les deux pays, devrait rencontrer des difficultés à faire entendre son appel.