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Les «Etats africains doivent coopérer», tel a été le message du ministre de l’Intérieur, Nouredine Bedoui lors de l’ouverture de la réunion des chefs des polices africaines. Le premier policier du pays a assuré que l'Algérie était prêt à mettre à profit son expérience et ses moyens opérationnels au service des pays du continent face aux enjeux sécuritaires.

Durant deux jours, les représentants des polices africaines vont voir ensemble comment faire face au terrorisme, au trafic d’armes, au trafic de drogue. Et c’est dans ce sens qu’a abondé le directeur général de la DGSN, Abdelghani Hamel, qui a expliqué que la future force africaine de police dénommée Afripol serait fondée sur trois principes: la mise en commun des capacités techniques, la coopération opérationnelle et l’assistance mutuelle.

Il est en outre question pour les représentants des polices de 40 pays de s’accorder sur les textes juridiques devant réglementer le fonctionnement de cette force de police africaine. Un processus soutenu par l’Union Africaine, dont le commissaire à la Paix et la Sécurité est l’Algérien Smaïl Chergui.