Hôte du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication dans le cadre d’une visite de travail, Jean-Philippe Courtois ne s’est pas prononcé sur les retombées financières de ce fléau.

Tout comme le représentant du leader informatique mondial a estimé qu’il est difficile de se prononcer sur la contrefaçon des produits grand public. Soit la nécessité de renforcer les dispositions de lutte contre le piratage des logiciels et autres applications.

Pour autant, Microsoft entend, selon M. Courtois, développer davantage le partenariat «privilégié » avec l’Algérie, un pays «qui mérite» et où la firme est présente directement par une filiale et parraine des start-up innovantes et actives au niveau du Cyberparc de Sidi Abdallah (Zéralda). Et dans la mesure où des progrès restent encore à parfaire en Algérie, ce partenariat renforcé devrait couvrir l’éducation (formation des enseignants, développement du contenu pédagogique et accès facilité à la technologique informatique…). Mais aussi fournir des solutions notamment le Cloud Computing ou informatique en nuage (gérance de données) qui, selon Jean-Philippe Courtois, permet aux utilisateurs notamment d’accéder en temps réel, à la demande, aux informations requises, réduire les coûts et générer des gains.