Le directeur de l’institut national de santé et de recherche médicale (INSERM) André Syrota et le directeur de l’institut de recherche pour le développement, Michel Laurent ont révélé que des projets entre l’Algérie et la France étaient en préparation afin de renforcer la coopération et le partenariat dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et l’accompagnement des chercheurs algériens dans de nombreux secteurs. Ils ont également annoncé la signature en 2011d’un accord cadre qui engloberait tous les aspects de la recherche et de l’enseignement supérieur et que la première rencontre se tiendrait probablement à Marseille. Les deux intervenants ont d’ailleurs précisé lors d’une conférence de presse organisée au lycée international « Alexandre Dumas » que la première conférence algéro-française sur l’enseignement supérieur et la recherche scientifique avaient permis de révéler les opportunités qui seront exploités pour le développement de tous les secteurs liés à l’université et à la recherche scientifique, ajoutant qu’en près d’un quart de siècle de coopération et de partenariat plus de 10 mille chercheurs et étudiants algériens avaient bénéficié de bourses.
Un accord cadre de soutien à la recherche scientifique et de coopération universitaire en 2011
Plus de 10 milles bourses accordés aux universitaires et chercheurs algériens
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Commentaires
Brievement:
Vénus1. Le chiffre de 10.000 est archi faux. Je suggérerais à l'intervenant de se referer à l'étude faite sur l'évaluation de la coopéeration algero-française 1986-2003 , par les experts des deux pays, qui a arrêté exactement le nombre de boursiers algériens.
2. Il y a lieu de préciser le concept de bourse. L'Etat français prend en charge les frais d'inscription et l'assurance au demeurant pas trop élevés. Quant à l'Etat algerien paie la bourse de l'étudiant, trés conséquente.
3. Le taux de retour en 2003 n'a jamais dépassé les 14%. 86% ont contribué au développement de la France. En un seul mot, l'Algérie assuré la prise en charge des frais liés au développemnt du futur doctorant à savoir les frais de , santé, éducation, sport, etc.. Et la France récupère le résultat et l'exploite.
Je tiens à rappeler l'objectif majeur des accords de 1986, par lesquels la France devait former des milliers d'enseignants chercheurs pour les université algériennes qui attendaient un flux important d'étudiants. Malheuresement Les enseignants chercheurs vous les avez laisser chez vous. Par ailleurs les mêmes accords avaient prévu la formation en spécialisation (type C) de fonctionnaires issus de minsitères techniques ; pour ces derniers , vous avez limité le nombre de bourses, car ils ne pouvaient pas rester en France, du fait de leurs statuts.
4. Vious etes dans vottre logique, Monsieur, car vous défendez les intérêts de votre pays. Et je vous en félicite. Je suis chagriné par l'inconscience de vos interlocuteurs, qui veulent reconduire un modèle qui a porté un grand préjudice à ce pays.