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Selon le président français François Hollande, toutes les hypothèses, notamment climatiques, sont étudiées pour expliquer ce crash.

D'après le ministère français de la Défense, les militaires envoyés sur le site du crash -un détachement terrestre d'une centaine de soldats- ont pour mission de «sécuriser la zone», de recueillir des éléments utiles à l'enquête et les corps des passagers.

Vingt gendarmes et policiers français étaient en route vendredi pour le Mali, où ils seront chargés de mener l'enquête et d'identifier les victimes.

En plus des Français, Burkinabè et Espagnols, les victimes proviennent de plusieurs pays, dont le Canada, le Liban, la suisse et l’Allemagne.