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Cette déclaration du ministre en marge de l'ouverture de la session parlementaire ordinaire du Parlement intervient après une période de flou ayant entouré ce projet de partenariat algéro-français.

Prévue pour avril 2016 à l'occasion de la venue du Premier ministre français Manuel Valls à Alger, la signature de l'accord pour la naissance de cette usine a été reportée sine die.

"Les projets en voie de finalisation dont celui de l'usine PSA Peugeot Citröen seront signés dans un proche avenir", avait alors déclaré le ministre algérien. Un report que des observateurs algériens expliquent par le froid qui caractérise ces derniers mois les relations entre Alger et Paris.

Le 15 juin dernier, lors de sa visite à Alger, le président français François Hollande avait annoncé l'implantation prochaine d'une usine Peugeot en Algérie.

Alger a fait, ces toutes dernières années, de l'industrie mécanique une priorité pour diversifier au plus vite la production et éventuellement les exportations hors hydrocarbures.

C'est dans ce cadre que le constructeur français Renault a installé une unité de montage de véhicules de marque Symbol dans l'ouest du pays.