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Il s'agit des gisements gaziers d'Alrar et de Wafa, lesquels ont, selon la même source, fait l'objet en septembre 2006, d'une étude conjointe réalisée par un cabinet de consulting étranger visant à confirmer la communication entre ces deux gisements.

A travers cet accord, ajoute le texte, les deux compagnies ont décidé d'actualiser cette étude en utilisant les données techniques acquises depuis janvier 2008 à ce jour.

En Mai 2012, pour des raisons de sécurité, le groupe Sonatrach avait pris la décision de suspendre ses activités en Libye et de rapatrier ses employés.

Déjà en 2011, Sontrach avait suspendu ses activités en Libye en raison des violences qui opposaient les adversaires et les partisans de Mouammar el-Kadhafi. Trois jours auparavant, le ministère des Affaires étrangères de l’époque, avait annoncé la fermeture de l’ambassade de l’Algérie et du consulat général en Libye en raison «d’une menace réelle et imminente» visant les diplomates algériens.

Sonatrach est parmi les rares compagnies pétrolières à continuer à travailler en Libye et en Irak malgré la crise politique et sécuritaire des deux pays.