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Renault a confirmé jeudi que les services de la répression des fraudes avaient procédé à des perquisitions sur plusieurs de ses sites. Elles s'inscrivent dans le cadre des investigations menées par les autorités après le scandale des moteurs diesel truqués de Volkswagen.

«La DGCCRF s'est rendue au siège social, au Centre technique Renault de Lardy et au Technocentre de Guyancourt», a précisé le groupe, tout en assurant que les tests réalisés à la demande de la ministre français de l'Ecologie, Ségolène Royal, n'avaient pas détecté de logiciel truqueur.

De son côté, le constructeur PSA Peugeot Citroën a affirmé jeudi «ne pas avoir fait l'objet d'une perquisition de la DGCCRF» et indiqué que les résultats des tests du gouvernement français à la suite de l'affaire Volkswagen n'ont pas montré d'anomalie concernant ses modèles.

«Les résultats des tests réalisés par la commission technique» présidée par la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal «nous ont été communiqués et attestent de l'absence de toute anomalie», précise le groupe, après des informations évoquant des perquisitions chez son concurrent Renault, qui entraînaient une lourde chute de l'ensemble du secteur automobile en Bourse.