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Pour parvenir à un tel résultat, le ministre a mis en exergue le rôle joué par les instituts sous sa tutelle, lesquels constituent, selon lui, "un front de l'islam modéré", l'islam prônant le juste-milieu et au service de la société.

Comme exemple, M. Aissa a précisé que les habitants des pays voisins et d'autres s'empressent d'envoyer leurs enfants se former en Algérie.

Dans les années 90, l'Algérie a fait les frais d'une idéologie qui a coûté la vie à quelque 350.000 personnes.

Depuis le rétablissement de la paix dans les années 2000, l'Algérie est sollicitée de part le monde pour partager son expérience en termes de lutte contre l'extrémisme, aussi bien au plan militaire qu'au plan idéologique, selon le ministre.