L'affaire remonte à 2008, quand la victime d’origine algérienne âgée d’une trentaine d’année a commencé à travailler pour Air Algérie au Québec. Rapidement, la femme et l'accusé sont devenus amis, entretenant même une relation privilégiée, selon la même source.

Selon la victime, son ex-patron l’avait embrassée à deux reprises contre son gré et lui a même touché la poitrine dans son bureau.

Lors du procès, «l'accusé avait témoigné en disant être victime d'une opération de charme de la victime contre lui».

Le juge avait à trancher si la plainte de la victime était une vengeance contre son ex-patron après son licenciement ou si les faits reprochés étaient avérés.

Le magistrat a finalement reconnu l’ex-patron coupable. La peine qui lui sera infligée sera connue dans quelques semaines. Il y aurait certainement une poursuite au civile aussi.