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Le juge a en revanche rendu un non-lieu au bénéfice de la maison mère de Saipem, Eni ENI.MI , et de l'ancien administrateur délégué d'Eni, Paolo Scaroni.

Trois anciens dirigeants de Saipem ainsi que deux intermédiaires algériens seront jugés pour corruption internationale au cours d'un procès devant débuter le 2 décembre prochain.

Saipem s'est dite certaine de pouvoir prouver son absence de responsabilité dans ce dossier.

Le parquet l'accuse d'avoir versé 197 millions d'euros à des intermédiaires afin de remporter des contrats d'un montant cumulé de huit milliards d'euros avec la compagnie pétrolière Sonatrach.

Selon la loi italienne, les entreprises sont responsables des agissements de leurs dirigeants et peuvent être soumises à des amendes en cas de condamnation.