ali_haddad.jpg
La décision est motivée par le souci de "satisfaire les demandes d'exportation", a-t-il affirmé devant les députés.

Le cadre législatif régissant l'ouverture du fret aérien existe depuis 1998, mais il resté gelé. "Il suffit donc de lever le gel sur cette loi", a dit M. Zaalane, en reconnaissant qu'Air Algérie ne pouvait satisfaire toutes les demandes des opérateurs en matière d'exportation de marchandises.

L'ouverture du transport aérien, notamment celui des passagers, et l'ouverture du capital d'Air Algérie, est l'une des revendications du patronat algérien, avec à sa tête le président du Forum des chefs d'entreprises, Ali Haddad.

Quant à l'ouverture du fret maritime au privé, elle fait l'unanimité à un plus haut niveau. Le Premier ministre Ahmed Ouyahia avait invité en décembre dernier les hommes d'affaires algériens à s'inscrire dans cette démarche.