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La croissance de 2015 est légèrement supérieure à la prévision de 3,8% qu'avait le gouvernement. Le Fonds monétaire international prévoyait de son côté une hausse de 3,7% du produit intérieur brut.

Depuis la chute des prix du pétrole en 2014, l'Algérie s'efforce de diversifier son économie mais elle reste fortement dépendante des hydrocarbures, qui représentent 60% du budget de l'Etat et 95% des exportations.

Le secteur du pétrole et du gaz a renoué avec une croissance positive l'an dernier, de 0,4%, après une contraction de 0,6% en 2014, a précisé l'Office national des statistiques (ONS).

La croissance hors hydrocarbures a décéléré à 5,5% contre 5,6% en 2014, en dépit d'une hausse de 7,6%, contre 2,5%, de la production agricole.

La production de grains a atteint 4 millions de tonnes, une augmentation de 14,3% par rapport à 2014.