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Aux Pays-Bas, le député d'extrême droite néerlandais Geert Wilders a affirmé que «les Néerlandais ont le droit à un référendum aussi». «Le Parti pour la liberté demande ainsi un référendum sur un Nexit, une sortie néerlandaise de l'UE», a-t-il déclaré dans un communiqué.

La première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, a indiqué que l'Écosse voyait «son avenir au sein de l'Union européenne». Ce référendum survient près de deux ans après un scrutin sur l'indépendance de l'Écosse.

En Irlande du Nord, le Sinn Féin, le parti nationaliste républicain, a appelé à un référendum sur une Irlande unifiée. La formation politique a souligné que le référendum avait des «conséquences énormes sur la nature de l'État britannique», sachant que l'Écosse et l'Irlande du Nord ont voté pour un maintien au sein de l'Union européenne.

En Allemagne, le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a dit qu'il s'agissait d'un «triste jour» pour l'Europe. «Les nouvelles venant de Grande-Bretagne sont vraiment peu réjouissantes. Cela ressemble à une triste journée pour l'Europe et pour la Grande-Bretagne», a-t-il dit sur son compte Twitter.

En France, la présidente du Front national, Marine Le Pen, a demandé l'organisation d'un référendum sur la question.