Selon une étude britannique, leurs petits courraient plus de risques de souffrir d’hyperactivité ou de troubles du comportement lorsqu’ils atteignent l’âge de sept ans.
Pour tirer cette conclusion, les chercheurs du University College de Londres ont réuni des données prélevées auprès de 10 000 enfants, à l’âge de trois ans et de nouveau à cinq et sept ans.
Les parents ne sont pas nécessairement à blâmer, ont fait valoir quelques scientifiques qui ont commenté l’étude, publiée dans la revue Pediatrics. Certains enfants ont plus de mal à s’autoréguler et donc à se mettre au lit l’heure venue.
« Les parents devraient alors déployer des efforts accrus pour fixer des balises », croit l’épidémiologiste Yvonne Kelly, qui a mené l’étude. « Mais bien sûr, il y a des éléments qu’on ne maîtrise pas. Il ne faut pas en faire une obsession. »
Enfants et sommeil: Vive les heures régulières !
Les parents qui ne couchent pas leurs enfants d’âge préscolaire à des heures régulières pourraient en payer le prix.
1813 lectures
URL de rétrolien : http://www.algerlablanche.com/index.php?trackback/1255
Commentaires
Les divertissements et la technologie à la maison joue un rôle important dans le dérèglement du sommeil des jeunes enfants .
DeniseRegarder la télévision, des films ou jouer à des jeux vidéo peu de temps avant de se coucher peut contribuer à une perte de sommeil. Bien que l’on puisse se sentir et avoir l’air calme lorsque l’on s’adonne à ce type de divertissement, notre esprit est excité. Si nous ne disposons pas d’assez de temps pour nous calmer avant d’aller au lit, il peut être difficile de s’endormir. De plus, les enfants qui visionnent des contenus inadaptés à leur âge peuvent éprouver des difficultés à s’endormir étant donné que ceux-ci peuvent accroître leur anxiété ou leur faire peur. De tels contenus peuvent également leur faire faire davantage de cauchemars pendant la nuit.
chez certain enfants les devoirs peuvent avoir trois types de répercussions sur le sommeil d’un enfant. Premièrement, le temps passé à finir un devoir peut empiéter sur le temps qui devrait être consacré au sommeil. Deuxièmement, le travail effectué trop peu de temps avant de se coucher peut empêcher un enfant de s’endormir à cause de la stimulation provoquée. Enfin, si l’enfant fait ses devoirs sur ou à côté de son lit, il peut associer cette zone au travail ou au stress et ne pas être capable de s’endormir facilement.
Denise