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Le ministère a ordonné le rappel des 814 voitures de ce type vendues en Corée du Sud. Et il envisage de porter plainte contre le responsable local de la marque japonaise. La firme conteste les constatations du ministère sud-coréen et dément toute infraction.

«Nissan n'a pas employé et n'emploie pas de dispositif illégal dans aucune des voitures produites», affirme le constructeur nippon dans un communiqué. Il précise que des tests antipollution effectués par des autorités de régulation dans l'Union européenne (UE) n'ont montré aucune triche.