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«Pour éviter le recours à l’arbitrage international, l’Algérie et le Japon ont entamé un débat d’Etat à Etat et non pas d’entreprise à Etat, ce qui nécessite un peu de temps, tandis que la compagnie japonaise cherchait des solutions techniques et s’employait à éviter l’arbitrage international.» a révélé M. Kadi.

Pour rappel, en raison du retard accusé dans la réalisation du deuxième tronçon de l’autoroute Est-Ouest d’une longueur de 399 km reliant trois wilayas de l’est du pays (Constantine, Annaba et El Tarf), l’Agence nationale des autoroutes (ANA) avait procédé à la résiliation du contrat avec Cojaal.

Et pour résoudre les problèmes dus à l’effondrement du tunnel de Djebel Ouahch, survenu le 1er janvier 2014, la réalisation d’une rocade près du tunnel, sur 13 km, a été lancée mais sa réception, prévue pour le mois en cours, est reportée à juin prochain.

Le retour du consortium Cojaal ne peut que répondre à une urgence, car les quatre entreprises nationales en charge actuellement des travaux auraient des difficultés à surmonter le problème de la stabilité du sol.